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karim: June 2008

Sunday, June 29, 2008

Monday, June 23, 2008

les 7 vies (seven life)

Wednesday, June 18, 2008

Triangle de Bermudes (un mystere)


Cette zone triangulaire de 3,9 millions de km2 délimitée par l’archipel des Bermudes, la côte est de la Floride et l’île de Porto Rico, surnommée aussi le « Triangle du Diable », serait le lieu de mystérieuses disparitions de navires et d'avions depuis le XIXe siècle, bien que des auteurs fassent remonter l'origine du mystère à l'époque de Christophe Colomb. Inspirée par plusieurs articles publiés par divers magazines dans les années 1950, l'appellation « Triangle des Bermudes » revient au journaliste Vincent Gaddis dans un article du magazine Argosy en 1964 : The Deadly Bermuda Triangle.
La légende a pris de l'ampleur avec la disparition d’une escadrille de cinq
chasseurs bombardiers le 5 décembre 1945 au large de la Floride, connu sous le nom de Vol 19. Au bout d’une heure de vol, la base de Fort Lauderdale reçut un appel du lieutenant leur annonçant qu’ils étaient perdus. Un hydravion, parti à leur recherche, ne revint pas non plus.
Dans les
années 1950, le professeur Wayne Meshejian déclara que le satellite météorologique de la National Océanographic Administration tombait systématiquement en panne chaque fois qu’il passait au-dessus du Triangle des Bermudes : « Une force que nous ne connaissons pas, précisa-t-il, empêche le passage des informations ».
Le journaliste du Los Angeles Times Howard Rosenberg publia en
1974 un article[1] estimant que plus de 50 navires et 20 avions y seraient disparus au cours du XIXe siècle et que les garde-côtes américains ont répondu à plus de 8 000 appels de détresse dans ce secteur.
Dans les
années 1970, plusieurs ouvrages et articles de journaux sont consacrés au mystère du triangle des Bermudes. Parmi eux, The Bermuda Triangle[2] publié par Charles Berlitz en 1974, devient un best-seller et marque le début d'une série d'enquêtes et de contre-enquêtes sur le sujet.
Pour expliquer les mystérieuses disparitions, certains auteurs évoquent les
extraterrestres, l'influence de l'Atlantide, une distorsion spatio-temporelle ou des champs magnétiques surnaturels tandis que d'autres se prononcent en faveur de perturbations climatiques, de réactions physiques ou chimiques naturelles liées à l'environnement de ce secteur ou encore de défaillances humaines.

Chronologie des disparitions [modifier]
L’histoire moderne des disparitions dans le triangle des Bermudes commencerait au début du
XIXe siècle :

De 1800 à 1850 [modifier]
En 1800, le USS Insurgent, un navire
français capturé par les Américains avec 36 canons et 340 marins.
En 1800, le USS Pickering.
En 1812, le Patriot.
En 1814, le USS Wasp.
En 1815, le USS Epervier.
En 1824, le USS Wildcat avec 31 membres d'équipage, le
schooner Lynx avec 40 membres d'équipage et le schooner USS Hornet.
En 1840, le Rosalie.
En 1843, le USS Grampus.

De 1850 à 1900 [modifier]
En 1866, le Lotta, un
trois-mâts suédois.
En 1868, le Viego, un navire marchand
espagnol.
En 1872, la Mary Celeste, qui fut retrouvée abandonnée et dérivant aux gré des courants deux ans plus tard entre les
Açores et Gibraltar.
En 1880, l’Atalanta, un
navire-école britannique avec ses 290 élèves officiers.
En 1884, le Miramon, une
goélette italienne.

De 1900 à 1950 [modifier]
En 1909, le Spray, un navire dirigé par Joshua Slocum, considéré comme le meilleur marin de son temps.
En 1917, le SS Timandra avec 21 marins.
En 1918, le Cyclops, avec 300 marins, disparut sans envoyer de SOS.
En 1920, le SS Hewitt, ce cargo à vapeur disparut en mer.
En 1921, le Carroll A. Deering fut retrouvé échoué près de
Cap Hatteras en Caroline du Nord. Les 11 membres d'équipage avaient disparu.
En 1925, le SS Cotopaxi avec 32 marins et le Raifuku Maru, un
cargo japonais, disparut après avoir envoyé le message suivant : « Danger like dagger now. Come quick ! » (« Danger poignard. Au secours. Vite ! »).
En 1926, le Cargo SS Suduffco avec 29 marins.
En 1938, l’Anglo Australien avec 38 marins. Son dernier message fut : « Temps idéal. Tout va bien ».
En 1942, le Surcouf, un sous-marin francais et un TBF Avenger (
avion).
En 1943, un PBY Catalina, un TBF Avenger, un Four Lockheed PV-1 Ventura et un PB4Y Privateer (avions).
En 1944, un PBY Catalina, un PB4Y Privateer, un SBD-5 Dauntless et un PBY-5A Catalina (avions).
En 1945, un B-24 Liberator et un PB4Y Privateer (avions), et l'
escadrille 19 : cinq avions torpilleurs Avenger.
En 1947, un C-54 (avion).
En 1948, le SS Samkey, le Evelyn K, le Star Tiger, un appareil britannique qui assurait la liaison Açores-Bermudes (dernier message : « Conditions météo excellentes. Arriverons à l’heure prévue »), un
Douglas DC-3, faisant la liaison entre Porto Rico et la Floride (dernier message : « Nous approchons de l’aéroport… Nous ne sommes plus qu’à 80 km au Sud… Nous apercevons les lumières de Miami… Tout va bien. Attendons les instructions pour l’atterrissage »).
En 1949, un Tudor IV : le Star Ariel (avion).

De 1950 à 2000 [modifier]
En 1950, un cargo
costaricain avec son équipage de 28 hommes par une mer calme, un Grumman F6F-5 Hellcat et un Grumman F9F-2 Panther (avions).
En 1955, le Home Sweet Home et le Connemara IV (retrouvé dérivant et abandonné).
En 1958, le Revonoc.
En 1961, l’Albatross, un
voilier école, sombra subitement au large de la Floride emportant avec lui 6 des 19 membres d’équipage.
En 1963, le SS Marine Sulphur Queen, un
pétrolier de 154 mètres jamais été retrouvé, et le Sno' Boy.
En 1965, le Enchantress et le El Gato.
En 1967, le Witchcraft avec 2 marins.
En 1970, le Milton Latrides.
En 1971, le El Caribe.
En 1972, le Anita, un cargo
allemand de 20 000 tonnes avec 32 marins.
En 1975, le Dawn.
En 1976, le Sylvia L. Ossa.
En 1978, le SS Hawarden Bridge, retrouvé abandonné dans les
Antilles.
En 1980, le SS Poet, un grand cargo.
En 1995, le Jamanic K, un cargo.
En 1999, le Genesis, un cargo avec 40 marins.

Hypothèses [modifier]
Parmi les hypothèses scientifiques, on a souvent invoqué des perturbations
magnétiques et des flatulences océaniques, soit des émissions sous-marines d'un gaz hautement inflammable, le méthane qui diminuent fortement la densité de l’eau jusqu’à provoquer une perte de flottabilité (voir hydrate de méthane).
Issue de la décomposition d'éléments organiques comme le
pétrole et le charbon, comprimé par la grande profondeur et la température très basse de l'environnement, libéré lors de la création de failles par l'activité tectonique. On trouve d'autres gisements importants en Mer du Nord où certaines plateformes de forage, navires et aéronefs ont été engloutis ou été pulvérisés par le même phénomène.

Le « mystère » contesté [modifier]
En 1975, le bibliothécaire américain Larry Kusche reprit à la source tous les témoignages sur le sujet. Son livre, The Bermuda Triangle Mystery – Solved, démontre notamment qu'une grande partie des disparitions ont eu lieu à d'autres endroits que dans le triangle des Bermudes, et que les ouvrages sur ce thème colportaient surtout des spéculations, sinon des inventions et des mensonges, pour entretenir le prétendu mystère.
Ainsi, la Commission d'enquête de la Marine qui a étudié la disparition des bombardiers en
1945 ne remarque aucun fait inexplicable et n'évoque aucune des transmissions radio rapportées par Charles Berlitz dans son best-seller sur le triangle des Bermudes. Les avions, perdus en mission, auraient en fait été victimes d'une panne de carburant et ne pouvaient plus communiquer en raison de la trop grande distance qui les séparaient de leur base. Quant aux navires disparus, ils auraient été pris dans des tempêtes ou victimes de défauts de fabrication qui les ont amenés à couler sans laisser de trace. Selon Kusche, toutes les disparitions, loin d'être des mystères comme le prétendent certains auteurs, peuvent facilement s'expliquer en fonction des conditions météorologiques, de problèmes techniques ou d'accidents naturels (gaz, coraux, etc.).
Le nombre de disparitions rapporté n’est pas particulièrement élevé si l'on tient compte des facteurs suivants :
La superficie (près de 4 millions de km2).
L'importance du trafic maritime dans cette zone.
L'importance des gisements d'
hydrate de méthane et de l'activité tectonique de la région.
Les conditions météorologiques, chaotiques et imprévisibles sous ces latitudes.
Plusieurs prétendus naufrages se sont révélés par la suite de simples mystifications. Pour certains, le mystère reste à éclaircir. Pour d’autres, il n’y a pas de mystère, sauf peut-être la propagation de la légende sur la base de faits si minces.
Un documentaire diffusé en
2003 par la chaîne National Geographic[3] ne mentionne pas d’anomalie particulière mesurée dans cette zone, hormis une diminution légère du champ magnétique terrestre. Il rappelle en revanche qu’on y observe les plus violentes tempêtes du globe, avec parfois des vagues scélérates de huit mètres et plus de haut. En ce qui concerne le Vol 19, c’est l’hypothèse d’une erreur de navigation de l’instructeur, formé dans les Keys et ayant confondu la topographie des régions survolées avec celles-ci au point de croire que son compas magnétique était déréglé, qui est retenue comme la plus probable, leurs basses réserves de carburant étant responsables de la perte de l’escadrille, retrouvée par hasard en 2000.
En 1975, le
cabinet d'assurances Lloyd's de Londres indiquait que le triangle des Bermudes n'était pas plus dangereux que d'autres routes maritimes internationales[4]. En 2006, les compagnies d’assurances ne jugent pas utile de majorer leurs primes pour les navires ou avions amenés à traverser cette zone.

Cliquer sur ces liens pour visualisez le documenet sur triange de bermudes en 3partie

http://www.dailymotion.com/video/x4gm6f_le-triangle-des-bermudes-part1_tech

http://www.dailymotion.com/video/x4gma0_le-triangle-des-bermudes-partie-2_tech

http://www.dailymotion.com/video/x4gme6_le-triangle-des-bermudes-partie-3_tech

Saturday, June 14, 2008

Lettre de Guy moquet (resistante)



Lettre de Guy Môquet à sa famille, Châteaubriant, le 22 octobre 1941 :
Ma petite maman chérie,mon tout petit frère adoré,mon petit papa aimé,
Je vais mourir ! Ce que je vous demande, toi, en particulier ma petite maman, c’est d’être courageuse. Je le suis et je veux l’être autant que ceux qui sont passés avant moi.
Certes, j’aurais voulu vivre. Mais ce que je souhaite de tout mon cœur, c’est que ma mort serve à quelque chose. Je n’ai pas eu le temps d’embrasser Jean. J’ai embrassé mes deux frères Roger et Rino (1). Quant au véritable je ne peux le faire hélas !
J’espère que toutes mes affaires te seront renvoyées, elles pourront servir à Serge, qui je l’escompte sera fier de les porter un jour.
À toi petit papa, si je t’ai fait ainsi qu’à ma petite maman, bien des peines, je te salue une dernière fois. Sache que j’ai fait de mon mieux pour suivre la voie que tu m’as tracée. Un dernier adieu à tous mes amis, à mon frère que j’aime beaucoup. Qu’il étudie bien pour être plus tard un homme.
17 ans 1/2, ma vie a été courte ! Je n’ai aucun regret, si ce n’est de vous quitter tous.
Je vais mourir avec Tintin, Michels (2).
Maman, ce que je te demande, ce que je veux que tu me promettes, c’est d’être courageuse et de surmonter ta peine. Je ne peux en mettre davantage. Je vous quitte tous, toutes, toi maman, Serge, papa, en vous embrassant de tout mon cœur d’enfant.
Courage ! Votre Guy qui vous aime.
Guy.

 
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